Jean-Claude THIBAUD – Prix catégorie Théâtre
pour « Sur un sentier broussailleux »
Né en septembre 38 région parisienne. Études secondaires Lycée Michelet à Vanves.
J’ai commencé à écrire (résilience) vers 15 ans. Vers l’âge de 55 ans, étant patron d’une petite entreprise en Bretagne, mon siège a été victime d’un cambriolage, dans lequel j’ai perdu l’ordinateur : toutes mes écritures depuis l’adolescence ont ainsi disparu… Je n’ai recommencé à écrire qu’en 1996, débutant par une nouvelle (50 ou 60 en tout, à l’heure actuelle) : « Grand-père » remarquée et admirée par Jean Piat, que j’ai eu la chance de rencontrer à Paris.
J’ai attendu jusqu’à 2005, environ, pour entamer ma première pièce, « Un dernier bol de soupe à Auschwitz » : félicitations venues de Mme Simone Veil, Piat et d’autres aussi (elle a été concédée – les droits – au Mémorial de la Shoah à Paris, il y a 2 ans); par la suite j’ai aussi écrit « La Brûlure » d’après Stig Dagerman.
En 2013 l’une de mes 4 pièces-récital, dont « Sur un sentier broussailleux » a fait l’objet d’une « présentation-spectacle-lue-plus ou moins jouée sur scène. »
Je vis à Dublin depuis 98 et je cumule les activités sur tous les plans : aquarelles, puzzles, soirées musicales dans un club d’art (50 soirées étalées sur 6 années) et enfin présentations de Zoom.us pour des groupes.