FEVE Jean-Philippe

Jean-Philippe FEVE  – Deuxième prix catégorie Nouvelle

pour « Les Portes »

Je m’appelle Jean-Philippe Fève. Je suis né à bourges en 1959 et dès mon plus jeune âge, j’étais déjà sous l’emprise des lettres car, à en croire ma mère, j’ai prononcé mes premiers mots avant de faire mes premiers pas.

Après quelques tâtonnements dans mes études, j’ai opté pour la carrière d’instituteur spécialisé, c’est-à-dire un enseignement s’adressant à des enfants aux profils atypiques (situation de handicap, difficulté sociale, …). Après quelques formations supplémentaires, je suis rapidement devenu directeur d’établissements médico-sociaux, fonction que j’ai exercée pendant vingt-cinq ans.

Tout jeune retraité, je vis dans un petit village du Brionnais, région assez vallonnée de bocages située dans le sud de la Bourgogne où sont élevées les fameuses vaches charolaises.

J’aime lire, écrire et sculpter le bois qui sont des activités très liées dans mon esprit et, quelque part, en lien les unes avec les autres. J’aime la montagne, me promener dans la campagne avec mes chiens, et aussi faire du ski. J’aime également le saucisson et le fromage de chèvre en buvant un verre de vin de Bourgogne, rouge ou blanc.

J’ai le sentiment d’écrire depuis toujours, c’est-à-dire depuis mes 15 ou 16 ans, selon une alternance de périodes d’écriture très productives et des périodes de calme plat. Les histoires que j’écris semblent se construire toutes seules dans ma tête. L’origine peut en être un souvenir, un rêve, une anecdote, une expérience professionnelle, mais parfois, je ne sais pas du tout où je vais les chercher. J’ai écrit des poésies, de nombreuses nouvelles et je viens de terminer un roman. La diffusion de mes textes est pour le moment plutôt confidentielle, réservée à mes proches et amis. J’ai déjà participé à un concours de nouvelles en 2009 (concours « Plumes à connaître » à Metz) où j’ai eu le deuxième prix pour ma nouvelle « Jours de pluie ».

Un de mes plus grands plaisirs est d’écrire confortablement installé dans un fauteuil, devant le feu, une musique de jazz en léger fond sonore, une boisson à portée de main, les chiens couchés sur le tapis, le visage de mon épouse sous la lampe. Un summum du luxe, du calme et de la volupté…