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LLORENS Jean-Marc

LE CHERCHEUR.

Directeur de la recherche et de la valorisation de la recherche à l’Ulco (Université du Littoral Côte d’Opale), expert en agroéconomie et agro-environnemental, entrepreneur dans les biomatériaux et bioénergies, cofondateur d’un grand réseau de recherche en valorisation des agroressources… JM LLORENS a choisi de faire carrière dans la recherche, car « la recherche cela nécessite de la créativité, de l’inspiration… » affirme-t-il.

 

L’ARTISTE CACHÉ.

Très tôt il s’adonne à la peinture. Il s’enflamme pour la musique. Aujourd’hui, toujours bassiste au sein d’un groupe de rock amateur, la musique ne le quitte pas et la produire en groupe lui permet de partager, d’écouter, de s’harmoniser avec l’autre. Des valeurs qu’il retrouve dans l’écriture. JM LLORENS a toujours écrit, mais pour lui. Si en qualité de lecteur, il a toujours dix livres ouverts, comme auteur, il a aussi toujours plusieurs livres en écriture.

 

L’HUMANISTE.

Sa vision : une meilleure redistribution des richesses au plan global pour le bien-être, le mieux-être de tous. JM LLORENS se bat contre le pouvoir détourné de l’argent, le fait que les moyens financiers prennent le pas sur le bien pour tous. Il s’insurge contre l’égo de certains scientifiques, qui fait que les ambitions peuvent prendre le pas sur la recherche au service de tous.

Dans un projet littéraire réfléchi, longuement maturé et construit, un défi à sa soixantaine, JM LLORENS sort de l’anonymat littéraire. Il veut écrire pour être lu, pour extérioriser et partager avec ses lecteurs, ses convictions, ses combats. Il a choisi pour cette première œuvre publique un thriller scientifique en 3 tomes, une saga intrigante, LDP286, dont le 1er opus s’intitule Le Syndrome de Nobel.

JANHSEN Séléna

Séléna est née en 1997 dans la jolie ville de Toulouse. Elle a grandi au pied des Pyrénées, passant son enfance au cœur des forêts enneigées d’Ariège, avant de revenir à ses racines et de s’installer dans la ville rose lors de ses études en arts appliqués.

Elle écrit depuis qu’elle sait tenir un stylo, mais c’est à 10 ans qu’elle a commencé Physalis, son plus grand projet en cours. Il s’agit d’une série de romans fantasy en sept tomes et au moins deux hors-séries. Le premier livre, « Stellmarya », devrait sortir courant 2022/2023 en édition indépendante.

Passionnée par la magie et les créatures surnaturelles, Séléna a toujours voyagé entre les mondes, grâce à ses écrits et à ceux d’auteurs talentueux. D’autres projets attendent sagement, bien au chaud dans les tiroirs virtuels de son pc. Des histoires de résilience, d’arcanisme, d’immortels et de Pacte ancestral… mais chaque chose en son temps !

Et en mot de la fin, j’aimerais citer l’auteur qui, entre tous, m’a le plus ouvert la voie sur le sentier de l’écriture :

« Si je vis dans un monde aux limites finies, connues, d’autres existent ailleurs, infinis, multiples, complexes, riches, foisonnants, merveilleux. Les auteurs sont les passeurs, leurs livres les portes qu’ils nous proposent de franchir. » Pierre Bottero,Le Pacte des Marchombres, tome 2, « L’Envol ».

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Chasseuse de lucioles et dresseuse de pégases sur son temps libre, Séléna a toujours voyagé entre les mondes.

Passionnée d’écriture depuis sa plus tendre enfance, elle a appris très tôt à attraper les cailloux vagabonds des Monts Hantés et à courir avec les loups.

Elle a étudié différents arts, dont celui de l’arcanisme. L’écriture lui est ainsi venue comme un second souffle.Bien qu’elle soit une sorcière de vent, elle est née Sagittaire et collectionne les plantes et les cristaux.

Sinon, elle aime la neige, être anticonformiste, marcher sur le fil de la nuit et les chats.

Peperstraete Béatrice

Née en 1951,  Béatrice Peperstraete  obtient son diplôme de médecine en 1975. Elle présente une thèse d’agrégation en sciences cardiologiques en 1985. Elle effectue toute sa carrière clinique au CHU Brugmann (Bruxelles). En 2016, disposant de plus de temps libre, elle suit les cours d’enseignement universitaire pour les aînés et se prend d’intérêt pour la littérature.  Elle décide d’écrire. « Erreur d’adresse » est son premier roman. 

Le roman « Erreur d’adresse » :

    Bruxelles, 1930. Louise vient d’avoir dix-sept ans quand, éperdument amoureuse, elle avoue ses sentiments à l’abbé André Mandeville, son professeur de religion.  L’abbé lui rétorque qu’elle se trompe d’adresse. Elle oublie l’abbé ou, du moins, elle le croit. Elle termine ses études de médecine quand elle s’éprend du docteur Michel Leclerc, pédiatre, joyeux célibataire, excentrique. Louise doit se rendre à l’évidence : ce séducteur est tout aussi inaccessible que l’abbé. Après une brève idylle avec un collègue, Louise se retrouve seule. La seconde guerre mondiale éclate. Louise, désemparée, se reproche sa lâcheté face à l’ennemi. Alors, lorsqu’un matin de janvier 1943, le docteur Leclerc lui propose de participer au sauvetage d’enfants cachés, elle accepte. Elle est loin d’imaginer à quel point sa vie en sera à jamais bouleversée.

Bon de commande du roman « Erreur d’adresse« 

Cérémonie « Les Arts littéraires » 26 mars 2022

Remise des prix du Concours «Les Arts littéraires » :
26 mars 2022

 

Le samedi 26 mars, le vent d’autan n’a pas découragé un public très nombreux venu assister à la 11ème remise des Prix du concours international et francophone « Les Arts littéraires », qui se déroulait cette année à l’Espace Lauragais de Saint-Orens.

11 talentueux lauréats (2 étant âgés seulement de 16 et 24 ans !), dont les œuvres furent présentées par les 6 membres du jury, aux questions desquels les auteurs ont brillamment répondu, ont obtenu un diplôme et un superbe trophée, visiblement très appréciés par tous les récipiendaires.

Un Diplôme d’Honneur a été attribué à une doyenne de 99 ans !

Madame le Maire, empêchée, fut représentée par Monsieur Serge Jop, adjoint au maire, qui remit à la jeune Séléna Janhsen, l’heureuse lauréate, le prix de la Ville de Saint-Orens. Plusieurs personnalités de la Métropole étaient également présentes : Monsieur François-Régis Gastou, secrétaire général de l’Académie du Languedoc, Monsieur Pierre Pérez, président du Cercle International « Art, Humanisme et Courtoisie »…

Comme chaque année a été respectée cette complémentarité artistique et culturelle, à laquelle l’association ALCA31 est depuis toujours tant attachée : c’est ainsi que l’exposition des magnifiques tableaux de Roselyne Morandi fut très appréciée et que Jacques Andrieu, directeur de l’Ecole municipale de musique de Saint-Orens (auquel fut remis un diplôme de membre Honoris Causa), a enchanté l’assistance avec de remarquables intermèdes musicaux ( Revel, Gualdi, Stravinsky, Saint-Saëns, Schubert, Schumann, Fauré, Debussy).

Cette belle cérémonie se clôtura sur un délicieux cocktail offert par la municipalité, durant lequel les échanges entre les lauréats et le public furent particulièrement fructueux.

 

 

Résultats « Les Arts littéraires » 2021-2022

Catégorie Nouvelle

 1er Prix                              DOUCET Cédric      « Un beau métier»

2ème Prix                           BERTHOMIEU Jérôme     « Trueno »                         

Mention spéciale du Jury 
                                               
MARTINELLO Renaud   « Kerkira »  


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Catégorie Théâtre

                                                BUHON Antonin               « Je suis prête »


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Catégorie Poésie

Prix  ex-æquo               BERTAUX Marie-José               « Marginalia »

                                               VINCENT-ARNAUD Nathalie 
                                                                                                               « Clés d’août »

Mention spéciale du Jury
                                               CANDAT Claudine       
                                                                     « Mon opium est dans mon cœur »

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Catégorie Roman

1er Prix                             LLORENS Jean-Marc       
                                                                                     « Le syndrome de Nobel »

2ème Prix                         CARO Denise              « La vie à rebours »

Mentions spéciales du Jury 
                                              RODHAIN Claude          « La faiseuse de rêves
»
                                              SOUBROUILLARD Nadine 
                                                          « Trois heures cinquante-deux de la nuit »


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Prix de l’Édition
PEPERSTRAETE Béatrice     « Erreur d’adresse»


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Prix de la Ville de Saint-Orens de Gameville

                              JANHSEN Séléna      « Physallis-Stellmarya »


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Diplôme d’honneur

                             MAESTRATI Colette     « Et patati et pata-chat»

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Téléchargement des résultats du concours « Les Arts littéraire » 2021-2022 au format PDF.

Cérémonie « Les Arts littéraires » 16 octobre 2021

16 octobre 2021 : Remise des Prix du concours « Les Arts littéraires »

Le 16 octobre 2021 s’est déroulée au Château Catala de Saint-Orens la remise des Prix du concours « Les Arts littéraires », qui fêtait en outre son 10ème Anniversaire.

Un public nombreux était venu applaudir les lauréats si talentueux des 4 catégories (Nouvelle, Roman, Théâtre, Poésie). Des 12 auteurs sélectionnés, 7 purent être présents. Dès le début de la séance on a pu remarquer la présence de Monsieur Serge Jop, adjoint au maire de Saint-Orens et son épouse qui assistèrent à l’ensemble de la cérémonie.

Marie-Pierre Roudié a obtenu le Prix de l’Edition pour son premier roman « Gabriel » et le Prix de la Ville, offert par la municipalité et remis comme chaque année par Dominique Faure, maire de Saint-Orens, a été attribué à Catherine Korzin.

Interprétés  par Jacques Andrieu, directeur de l’Ecole municipale de musique de Saint-Orens,  des intermèdes musicaux toujours en harmonie avec les thèmes des œuvres primées, ont enchanté l’assistance et le photographe Alain Lepers nous offrit  une splendide exposition de photos  illustrant des thèmes variés « Reflets, Dolomites».

Pour célébrer le 10ème Anniversaire du concours, des mugs siglés furent distribués aux autorités municipales, aux lauréats, aux membres du jury, aux 2 intervenants (musique et photo) et aux bénévoles de l’association.

Lors du succulent cocktail de clôture, le public et les lauréats purent se livrer à des échanges fructueux, qui se poursuivirent d’ailleurs le soir toujours au château Catala, où lauréats et membres du jury se retrouvèrent  dans une atmosphère d’excellente convivialité.   

Marie-Pierre ROUDIE

 Marie-Pierre ROUDIE – Prix de l’Édition pour le roman
« Gabriel »

 

Originaire de Toulouse, Marie-Pierre Roudié a travaillé en tant que médiatrice puis en tant que responsable d’un centre social au sein d’associations toulousaines.

C’est après un déménagement au Pays-Basque, avec son mari et ses trois enfants, qu’elle prend le temps d’écrire, puisant son inspiration dans les émotions humaines qu’elle a pu observer au fil de ses rencontres.

Gabriel

Margot et Antoine, jeunes mariés amoureux, ont perdu leur fils Gabriel. Le couple doit se reconstruire et envisager la vie d’après, sans celui qui fut leur premier enfant.

Face aux sollicitations de son mari et à la pression familiale, Margot accepte à nouveau l’idée de la maternité.

Mais l’ombre invisible de l’enfant disparu emportera les membres de cette famille au cœur de tourments.

Ce roman en trois temps entraîne le lecteur vers des périodes différentes qui lui permettent de suivre l’évolution des personnages et de faire le lien entre les évènements familiaux passés et l’impact qu’ils auront sur chacun, entre conflits, mensonges, alliances et trahisons…

Quel évènement permettra à cette famille de se libérer des secrets dans lesquels elle s’est enfermée au fil des années ?

Tarif : 18 Euros.

Bon de commande

LEVIGNY Dominique

Dominique LEVIGNY  – Deuxième prix Nouvelle

pour « Le retour »

J’ai vécu l’essentiel de mon enfance en pension chez les pères Salésiens, puis chez les Jésuites. J’ai suivi un enseignement de lettres classiques.

Ma carrière de cadre supérieur de la Fonction Publique, dans les domaines juridiques et fiscaux, m’a permis de découvrir et de vivre dans plusieurs régions au gré de mutations successives.

Marié, père de trois enfants et retraité depuis fin 2015, j’ai résidé plusieurs années au cœur de la forêt landaise avant de m’établir récemment en Lorraine avec mon épouse.

Je me suis épris, très jeune, de lecture et d’écriture, extraordinaires exutoires à ma douloureuse condition de pensionnaire. Elles me conféraient le pouvoir magique de m’évader et de créer un univers fantastique me permettant d’échapper au joug difficilement tolérable d’une discipline spartiate.

Depuis ces dernières années, enfin libre de toute contrainte professionnelle, je peux mettre à profit mon temps, désormais libre de retraité, pour me consacrer à l’écriture.

THIBAUD Jean-Claude

Jean-Claude THIBAUD  –  Prix catégorie Théâtre

pour « Sur un sentier broussailleux »

Né en septembre 38 région parisienne. Études secondaires Lycée Michelet à Vanves.

J’ai commencé à écrire (résilience) vers 15 ans. Vers l’âge de 55 ans, étant patron d’une petite entreprise en Bretagne, mon siège a été victime d’un cambriolage, dans lequel j’ai perdu l’ordinateur : toutes mes écritures depuis l’adolescence ont ainsi disparu… Je n’ai recommencé à écrire qu’en 1996, débutant par une nouvelle (50 ou 60 en tout, à l’heure actuelle) : « Grand-père » remarquée et admirée par Jean Piat, que j’ai eu la chance de rencontrer à Paris.

J’ai attendu jusqu’à 2005, environ, pour entamer ma première pièce, « Un dernier bol de soupe à Auschwitz » : félicitations venues de Mme Simone Veil, Piat et d’autres aussi (elle a été concédée – les droits – au Mémorial de la Shoah à Paris, il y a 2 ans); par la suite j’ai aussi écrit « La Brûlure » d’après Stig Dagerman.

En 2013 l’une de mes 4 pièces-récital, dont « Sur un sentier broussailleux » a fait l’objet d’une « présentation-spectacle-lue-plus ou moins jouée sur scène. »

Je vis à Dublin depuis 98 et je cumule les activités sur tous les plans : aquarelles, puzzles, soirées musicales dans un club d’art (50 soirées étalées sur 6 années) et enfin présentations de Zoom.us pour des groupes.

SCHOULL Christian

Christian SCHOULL  –  Deuxième prix catégorie Poésie

pour « De braise et de feu »

 

Baccalauréat littéraire à 16 ans.

Hypokhâgne et Khâgne lycée Montaigne à Bordeaux.

Études d’histoire et de géographie faculté des Lettres de Bordeaux.

  • 1967 : agrégation d’histoire.
  • 1967-1969 : assistant d’histoire à l’Université Laval (Québec) au titre de la coopération.
  • 1969-1976 : assistant d’histoire contemporaine Université Bordeaux III.
  • 1976-2002 : Professeur de lycée.
  • 2002 : retraité et retiré à la campagne, ce qui lui permet de se consacrer à la poésie.

4 recueils publiés : –

    • Séismes de vie
    • Œnochoé
    • Des rochers au rivage
    • De braise et de feu

De nombreux prix, dont un en 2020 : premier prix au concours international d’Arts et Lettres de France (poésie libérée).