Né en 1973, j’habite à Paris mais j’ai gardé des racines familiales à Toulouse, où j’ai vécu près de vingt ans. J’ai passé le plus clair de ma vie professionnelle dans divers cabinets d’études et agences de communication, me consacrant à la rédaction d’un nombre incalculable de rapports d’activité, de notes de synthèse, de recommandations stratégiques, de réponses à appel d’offres, de plans de transformation et autres présentations PowerPoint. Après avoir passé l’essentiel de ma semaine devant mon clavier, je n’ai pas toujours le courage, le week-end venu, d’écrire « pour le plaisir » – c’est pourquoi je privilégie les textes courts !
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BUHON Antonin
Je m’appelle Antonin Buhon, j’ai 16 ans et je vis à Floirac, près de Bordeaux. Je fais du théâtre depuis mes 10 ans, d’abord à l’école, puis en association et maintenant au Conservatoire Jacques Thibaud de Bordeaux en cycle découverte. L’envie d’écrire une pièce est née assez tôt. J’avais le besoin de créer, de partir dans un projet sans contrainte de temps, de budget ou de moyens. L’inspiration m’est venue d’un livre que j’avais relu après un épisode familial douloureux, Oscar et la dame rose, d ’Éric-Emmanuel Schmitt, qui relate l’histoire d’un enfant gravement malade qui se met à écrire des lettres à Dieu sous les conseils de sa mamie adoptive, Mme Rose, l’infirmière qui le prend en charge. Cette très belle histoire m’a donné envie d’écrire. J’étais habité par l’idée de régler mes comptes avec la société. C’est d’ailleurs avec le recul la petite critique que je pourrai faire à mon texte, écrit vers mes 13 ans, il veut beaucoup en dire, il veut tout aborder. Je sais cependant que c’était aussi l’idée que se faisait du monde le gamin que j’étais. L’impression de pouvoir tout changer, tout bousculer. L’écriture fut donc assez rapide, un ou deux mois. Puis j’ai fait lire ce texte à ma sœur, Maëlle, puis Oriane Cochin, mon amie et partenaire de jeu avec qui je joue encore à ce jour Je suis prête. Dès le moment où Oriane m’a dit que le texte et l’histoire lui plaisaient, alors j’ai su que le projet était lancé. Nous voilà maintenant avec bientôt une dizaine de dates derrière nous, de nombreux, très nombreux retours positifs et encourageants puis finalement un prix d’écriture qui me touche profondément puisque qu’il marque en quelque sorte l’accomplissement de tout ce travail et de toutes ces années de passion artistique.
VINCENT-ARNAUD Nathalie
Nathalie Vincent-Arnaud est née à Toulouse et a grandi à Cahors. Après des études littéraires à Toulouse entre classes préparatoires et université, elle est devenue enseignant-chercheur à l’Université Toulouse-Jean Jaurès (naguère Toulouse-Le Mirail), au Dépar-tement d’Études du Monde Anglophone. Ses domaines de spécialité sont la stylistique, la traduction et les relations entre musique, danse et littérature. Parallèlement à ses activités d’enseignement et de recherche, elle a également une activité de traductrice, principalement de poésie et de sciences humaines.
Elle écrit depuis toujours, de la poésie, de courtes histoires rimées pour enfants, des nouvelles et quelques autres fantaisies inclassables. Éprise des mots, des langues, de la littérature, de la poésie, elle l’est aussi tout particulièrement de la musique et de la danse, qu’elle pratique en amateur.
Très attachée à l’Occitanie, à ses paysages et à ses ambiances, elle affectionne tout autant les cultures méridionales (Provence, Espagne, Italie) que les cultures germaniques et anglo-saxonnes, toutes venant régulièrement nourrir son imaginaire et susciter ses voyages. Les animaux, la marche, la natation sont au nombre de ses autres passions.
BERTAUX Marie-José
Originaire du Tarn-et-Garonne, je vis dans la région toulousaine depuis longtemps. Je suis désormais retraitée après avoir enseigné les Lettres classiques. L’envie d’écrire m’est venue vers 9 ou 10 ans, mais les occupations familiales et professionnelles ont fait que je n’ai publié qu’assez tard : des nouvelles (Talons de verre, prix Prométhée en 2005 – Ennuyeux et facile – Idylles sous vents variables), des récits (La vie est au moins double), des poèmes (Alphabet – Funambule – Marginalia). Ces dernières années, je me suis surtout occupée de recherches généalogiques pour écrire un livre sur mes ancêtres maternels. Je fais partie de la S.P.A.F. et de la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne.
CARO Denise
J’ai exercé quelques années la médecine générale et, à d’autres moments, la médecine du travail.
Mais j’ai fait l’essentiel de ma carrière dans le journalisme et la communication santé : à destination des médecins (Quotidien du médecin, Panorama du médecin, Journaux de spécialités…) et à destination du grand public (magazine Santé Forme, chroniques Europe 1 et Direct 8…).
Dans ce cadre, j’ai publié plusieurs livres : « Vouloir un enfant » éditions J-Cl Lattès (1986), « Petit dictionnaire de la santé » et « La beauté, ça se soigne » éditions du Quotidien du Pharmacien (1993), « Les perturbateurs endocriniens, comment affectent-ils notre quotidien » éditions QUAE (2017).
Je continue ponctuellement à rédiger des articles médicaux à destination des médecins.
Écriture littéraire.
Il y a quelques années, je me suis mise à l’écriture de fictions.
J’ai suivi plusieurs ateliers d’écriture : Saisir les mots– les mécanismes de la création, les différents types de nouvelles, le roman court- ; Les Mots– la construction d’une histoire, la création de personnages marquants ; Lire –comprendre l’édition, le roman familial ; Conférences The ArtistAcademy– EE Schmitt, Douglas Kennedy.
« La vie à rebours » est mon premier roman. Il est paru en juillet 2020 aux éditions L’Harmattan (au début de la pandémie de Covid qui a fortement limité les actions de communication autour de cette parution).
Depuis j’ai écrit un second roman « Là où tout a commencé » dont le manuscrit, adressé à plusieurs maisons d’édition, est en attente de réponses.
L’humain, ses émotions, ses comportements, ses trajectoires de vie sont mes sujets de prédilection.
J’aime mettre en scène des personnages sensibles, en prise avec leur propre histoire dans laquelle secret, identité et filiation occupent une place importante.
Hobby
Actuellement, je partage mon temps entre la région parisienne (Boulogne 92) et les Alpilles (Maillane 13) et entre l’écriture et la peinture.
LLORENS Jean-Marc
Directeur de la recherche et de la valorisation de la recherche à l’Ulco (Université du Littoral Côte d’Opale), expert en agroéconomie et agro-environnemental, entrepreneur dans les biomatériaux et bioénergies, cofondateur d’un grand réseau de recherche en valorisation des agroressources… JM LLORENS a choisi de faire carrière dans la recherche, car « la recherche cela nécessite de la créativité, de l’inspiration… » affirme-t-il.
L’ARTISTE CACHÉ.
Très tôt il s’adonne à la peinture. Il s’enflamme pour la musique. Aujourd’hui, toujours bassiste au sein d’un groupe de rock amateur, la musique ne le quitte pas et la produire en groupe lui permet de partager, d’écouter, de s’harmoniser avec l’autre. Des valeurs qu’il retrouve dans l’écriture. JM LLORENS a toujours écrit, mais pour lui. Si en qualité de lecteur, il a toujours dix livres ouverts, comme auteur, il a aussi toujours plusieurs livres en écriture.
L’HUMANISTE.
Sa vision : une meilleure redistribution des richesses au plan global pour le bien-être, le mieux-être de tous. JM LLORENS se bat contre le pouvoir détourné de l’argent, le fait que les moyens financiers prennent le pas sur le bien pour tous. Il s’insurge contre l’égo de certains scientifiques, qui fait que les ambitions peuvent prendre le pas sur la recherche au service de tous.
Dans un projet littéraire réfléchi, longuement maturé et construit, un défi à sa soixantaine, JM LLORENS sort de l’anonymat littéraire. Il veut écrire pour être lu, pour extérioriser et partager avec ses lecteurs, ses convictions, ses combats. Il a choisi pour cette première œuvre publique un thriller scientifique en 3 tomes, une saga intrigante, LDP286, dont le 1er opus s’intitule Le Syndrome de Nobel.
JANHSEN Séléna
Séléna est née en 1997 dans la jolie ville de Toulouse. Elle a grandi au pied des Pyrénées, passant son enfance au cœur des forêts enneigées d’Ariège, avant de revenir à ses racines et de s’installer dans la ville rose lors de ses études en arts appliqués.
Elle écrit depuis qu’elle sait tenir un stylo, mais c’est à 10 ans qu’elle a commencé Physalis, son plus grand projet en cours. Il s’agit d’une série de romans fantasy en sept tomes et au moins deux hors-séries. Le premier livre, « Stellmarya », devrait sortir courant 2022/2023 en édition indépendante.
Passionnée par la magie et les créatures surnaturelles, Séléna a toujours voyagé entre les mondes, grâce à ses écrits et à ceux d’auteurs talentueux. D’autres projets attendent sagement, bien au chaud dans les tiroirs virtuels de son pc. Des histoires de résilience, d’arcanisme, d’immortels et de Pacte ancestral… mais chaque chose en son temps !
Et en mot de la fin, j’aimerais citer l’auteur qui, entre tous, m’a le plus ouvert la voie sur le sentier de l’écriture :
« Si je vis dans un monde aux limites finies, connues, d’autres existent ailleurs, infinis, multiples, complexes, riches, foisonnants, merveilleux. Les auteurs sont les passeurs, leurs livres les portes qu’ils nous proposent de franchir. » Pierre Bottero,Le Pacte des Marchombres, tome 2, « L’Envol ».
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Chasseuse de lucioles et dresseuse de pégases sur son temps libre, Séléna a toujours voyagé entre les mondes.
Passionnée d’écriture depuis sa plus tendre enfance, elle a appris très tôt à attraper les cailloux vagabonds des Monts Hantés et à courir avec les loups.
Elle a étudié différents arts, dont celui de l’arcanisme. L’écriture lui est ainsi venue comme un second souffle.Bien qu’elle soit une sorcière de vent, elle est née Sagittaire et collectionne les plantes et les cristaux.
Sinon, elle aime la neige, être anticonformiste, marcher sur le fil de la nuit et les chats.
Peperstraete Béatrice
Née en 1951, Béatrice Peperstraete obtient son diplôme de médecine en 1975. Elle présente une thèse d’agrégation en sciences cardiologiques en 1985. Elle effectue toute sa carrière clinique au CHU Brugmann (Bruxelles). En 2016, disposant de plus de temps libre, elle suit les cours d’enseignement universitaire pour les aînés et se prend d’intérêt pour la littérature. Elle décide d’écrire. « Erreur d’adresse » est son premier roman.
Le roman « Erreur d’adresse » :
Bruxelles, 1930. Louise vient d’avoir dix-sept ans quand, éperdument amoureuse, elle avoue ses sentiments à l’abbé André Mandeville, son professeur de religion. L’abbé lui rétorque qu’elle se trompe d’adresse. Elle oublie l’abbé ou, du moins, elle le croit. Elle termine ses études de médecine quand elle s’éprend du docteur Michel Leclerc, pédiatre, joyeux célibataire, excentrique. Louise doit se rendre à l’évidence : ce séducteur est tout aussi inaccessible que l’abbé. Après une brève idylle avec un collègue, Louise se retrouve seule. La seconde guerre mondiale éclate. Louise, désemparée, se reproche sa lâcheté face à l’ennemi. Alors, lorsqu’un matin de janvier 1943, le docteur Leclerc lui propose de participer au sauvetage d’enfants cachés, elle accepte. Elle est loin d’imaginer à quel point sa vie en sera à jamais bouleversée.
Cérémonie « Les Arts littéraires » 26 mars 2022
Remise des prix du Concours «Les Arts littéraires » :
26 mars 2022
Le samedi 26 mars, le vent d’autan n’a pas découragé un public très nombreux venu assister à la 11ème remise des Prix du concours international et francophone « Les Arts littéraires », qui se déroulait cette année à l’Espace Lauragais de Saint-Orens.
11 talentueux lauréats (2 étant âgés seulement de 16 et 24 ans !), dont les œuvres furent présentées par les 6 membres du jury, aux questions desquels les auteurs ont brillamment répondu, ont obtenu un diplôme et un superbe trophée, visiblement très appréciés par tous les récipiendaires.
Un Diplôme d’Honneur a été attribué à une doyenne de 99 ans !
Madame le Maire, empêchée, fut représentée par Monsieur Serge Jop, adjoint au maire, qui remit à la jeune Séléna Janhsen, l’heureuse lauréate, le prix de la Ville de Saint-Orens. Plusieurs personnalités de la Métropole étaient également présentes : Monsieur François-Régis Gastou, secrétaire général de l’Académie du Languedoc, Monsieur Pierre Pérez, président du Cercle International « Art, Humanisme et Courtoisie »…
Comme chaque année a été respectée cette complémentarité artistique et culturelle, à laquelle l’association ALCA31 est depuis toujours tant attachée : c’est ainsi que l’exposition des magnifiques tableaux de Roselyne Morandi fut très appréciée et que Jacques Andrieu, directeur de l’Ecole municipale de musique de Saint-Orens (auquel fut remis un diplôme de membre Honoris Causa), a enchanté l’assistance avec de remarquables intermèdes musicaux ( Revel, Gualdi, Stravinsky, Saint-Saëns, Schubert, Schumann, Fauré, Debussy).
Cette belle cérémonie se clôtura sur un délicieux cocktail offert par la municipalité, durant lequel les échanges entre les lauréats et le public furent particulièrement fructueux.
Résultats « Les Arts littéraires » 2021-2022
Catégorie Nouvelle
1er Prix DOUCET Cédric « Un beau métier»
2ème Prix BERTHOMIEU Jérôme « Trueno »
Mention spéciale du Jury
MARTINELLO Renaud « Kerkira »
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Catégorie Théâtre
BUHON Antonin « Je suis prête »
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Catégorie Poésie
Prix ex-æquo BERTAUX Marie-José « Marginalia »
VINCENT-ARNAUD Nathalie
« Clés d’août »
Mention spéciale du Jury
CANDAT Claudine
« Mon opium est dans mon cœur »
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Catégorie Roman
1er Prix LLORENS Jean-Marc
« Le syndrome de Nobel »
2ème Prix CARO Denise « La vie à rebours »
Mentions spéciales du Jury
RODHAIN Claude « La faiseuse de rêves »
SOUBROUILLARD Nadine
« Trois heures cinquante-deux de la nuit »
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Prix de l’Édition
PEPERSTRAETE Béatrice « Erreur d’adresse»
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Prix de la Ville de Saint-Orens de Gameville
JANHSEN Séléna « Physallis-Stellmarya »
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Diplôme d’honneur
MAESTRATI Colette « Et patati et pata-chat»
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Téléchargement des résultats du concours « Les Arts littéraire » 2021-2022 au format PDF.