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Les conférences passées 2018-2019

Jeudi 18 octobre 2018   « Sur le Chemin Primitif de Compostelle, le vrai »                                                                          par Yves OUSTRIC

Jeudi 15  Novembre « Rigolette » de Giuseppe Verdi                                                        par Maryse CARRIER

Jeudi 13  Décembre  « 1812 : La retraite de Russie, un effroyable carnage. »                                                    par Michel SARRAILH

Jeudi 7 février « La Corse, ses merveilles et l’île d’Elbe »                                              par Maryse et Michel CARRIER

Jeudi 16 mai « Découverte de la Croatie »       par Maryse CARRIER

Rigoletto de Giuseppe Verdi

Rigoletto image affiche« Rigoletto » (dont le titre primitif était « La Maledizione »), opéra en 3 actes de Guiseppe Verdi sur un livret de Francesco Maria Piave, fut créé en 1851, après une genèse très mouvementée, pour le théâtre de la Fenice à Venise. S’inspirant  de la tragédie de Victor Hugo « Le Roi s’amuse », qui avait été interdite en 1832 pour outrage aux mœurs, Verdi disait : « Avec un sujet pareil, on ne peut pas se tromper » !

Dans ce drame de passion, de trahison, d’amour filial et de vengeance, Verdi transpose l’action de la cour du roi de France François Ier à celle du duc de Mantoue, où œuvre un personnage bien complexe, Rigoletto, le bouffon bossu du duc. Mais si le drame de Victor Hugo ne connut jamais le succès, le triomphe public de l’opéra de Verdi fut immédiat, même si des critiques s’élevèrent devant une œuvre jugée bien surprenante, qui permit cependant au compositeur d’acquérir une notoriété internationale.

Sur le chemin primitif de Compostelle, le vrai

« Sur le Chemin Primitif de Compostelle… le vrai »

 Espace Marcaissonne : Jeudi 18 octobre à 14h30

 Conférence-diaporama par Yves Oustric

Prix 2018 de la Ville de Saint-Orens du concours « Les Arts littéraires »

 Paysages, histoire, rencontres, passion : tels sont les maîtres mots d’une marche de légende sur la plus ancienne voie jacquaire ouverte, dès le IXe siècle, par le roi des Asturies, Alphonse II le Chaste.

Sur ce « Chemin  Primitif de Compostelle… le vrai », Yves Oustric nous entraîne dans une aventure à hauteur d’homme depuis San Sebastian-Donostia sur la côte basque à Santiago de Compostela. Cette épopée extraordinaire, avec pour fonds sonore le fracas des Compostelle cathédralearmes de la Reconquista, nous éblouit  par la beauté d’une nature à couper le souffle et la richesse d’un patrimoine passionnant, hors du  commun.

Mais cette pérégrination quasi solitaire pendant des semaines, n’est en réalité et surtout pour l’auteur qu’une longue quête, une voie vers un ailleurs, vers une connaissance beaucoup plus profonde, donnant un «sens à la vie », « permettant de faire le tri entre accessoire et essentiel… dans l’audace du partage et de la solidarité… les plus grands attributs du pèlerin ».

Cérémonie de remise des Prix « Les Arts littéraires » 2018

Remise des Prix du  concours « Les Arts littéraires »

Le samedi 24 mars 2018, 8 lauréats du concours « Les Arts littéraires » furent ravis de recevoir leur prix (diplôme et trophée) au Château Catala de Saint-Orens. Madame Dominique Faure, maire de Saint-Orens, offrit le prix de la Ville à Yves Oustric  (« Sur le chemin de Compostelle… le vrai ») et le prix de l’Edition, offert par l’association ALCA, fut attribué à Anne Waddington («Le chargeur n’a que vingt balles »).

La présidente du concours, Maryse Carrier, remercia un public venu nombreux, le quatuor de clarinettes dirigé par Jacques Andrieu (directeur de l’Ecole municipale de musique), qui enchanta l’assistance ainsi que les 2 photographes Jean Mangin et William Massias, pour leur magnifique exposition de photos.

Un cocktail succulent permettait à tous de poursuivre des échanges fructueux entre tous les participants.

Photos de la cérémonie

La Corse, ses merveilles et l’île d’Elbe

L’île de Beauté (véritable condensé de tous les reliefs connus) mérite amplement son nom : paysages aussi contrastés qu’enchanteurs (les Calanche de Piana notamment…), sites époustouflants (celui de la ville de Bonifacio par ex., plantée sur son promontoire), eaux limpides et plages paradisiaques, considérées parmi les plus belles d’Europe. Point d’orgue de cette nature sauvage et préservée, des routes particulièrement pittoresques, de nombreux chemins de randonnée, et des villages généralement perchés au sommet des collines, qui confèrent à cette île un charme intemporel et singulier, sans oublier les fameuses îles désertes (Lavezzi, Sanguinaires…), véritables réserves naturelles.

Mais la Corse c’est aussi une terre chargée d’histoire, comme en témoignent les tours génoises qui parsèment le littoral, les églises baroques et dans plusieurs  villes (Fozzano, Ajaccio, Corte…) le souvenir savamment entretenu de célèbres personnalités : Colomba, Tino Rossi, Pascal Paoli, surnommé le Père de la Patrie, ou bien sûr Napoléon Bonaparte, dont nous suivrons les pas sur l’île d’Elbe (italienne depuis 1860), où l’Empereur vivra un exil de 10 mois avant l’incroyable épopée des Cent-Jours…

Bonifacio
Bonifacio

VERMEER (1632-1675) : l’un des maîtres du siècle d’or néerlandais

VERMEER  (1632-1675) :

l’un des maîtres du siècle d’or néerlandais.

par Odile Ferrandon

De nos jours VERMEER  est considéré comme un des plus grands peintres de l’histoire de l’art occidental, un des trois grands maîtres, avec Franz HALS et REMBRANDT, qui ont dominé  le 17ème siècle hollandais, ce siècle d’or marqué par une prospérité économique,  sociale et politique sans égale et par une extraordinaire floraison artistique.

Surnommé  le « Sphinx de Delft » en raison du mystère qui entoure sa vie comme il imprègne son œuvre,  VERMEER  ne fut pas l’artiste solitaire dont les historiens d’art du 19ème siècle  ont forgé la légende. Au contraire, il vécut dans l’effervescence  artistique de Delft  en contact  permanent  avec ses confrères,  travaillant sur les mêmes  thèmes, la vie quotidienne  et l’intimité des riches bourgeois de ce siècle  d’or .Mais sa  supériorité est éclatante tant sa vision est différente.

Plus que par l’anecdote  VERMEER  est intéressé  par l’espace, le temps, la lumière, l’âme  des personnages, leurs émotions, leurs tensions;  il les saisit absorbés par la pensée, le geste suspendu, il en préserve le secret. Maitre de la peinture intimiste, magicien de la lumière, VERMEER  a su allier quotidienneté  et mystère ; son œuvre  tournée vers l’intériorité  est un univers de quiétude, de silence et d’éternité.

VERMEER La jeune fille à la perle
VERMEER La jeune fille à la perle (vers 1665 – tableau de 44 x 39 cm)

Extravagances de la vie animale sous-marine (curiosités et merveilles)

 » EXTRAVAGANCES DE LA VIE ANIMALE SOUS-MARINE »

(Curiosotés et merveilles)
par Jean Mangin

 

Le conférencier vous emmènera dans un univers sous-marin fabuleux, empli des curiosités et des merveilles des mers tropicales. Avec lui vous irez plonger en Polynésie, Indonésie, Comores, Malaisie, Nouvelle Calédonie grâce à une nouvelle sélection de ses photographies et vidéos, toujours riches en couleurs, qui vous montreront la vie animale sous-marine avec ses aspects insolites, amusants, extravagants.

A l’aide de nombreuses anecdotes concernant le génie animal pour se dissimuler, impressionner l’adversaire ou échapper aux prédateurs, vous découvrirez : Poissons champions du mimétisme, crabes, crevettes et hippocampes doués en camouflage, nudibranches (« limaces de mer ») en habits de fête, poulpes virtuoses de la transformation corporelle et de leur couleur. Mais vous serez également émerveillés par les animaux insolites, tels les antennaires (poissons marchant au fond de l’eau) ou les comatules multicolores (animaux à plumes) !

 L’objectif de cette conférence est de vous conduire de surprise en surprise grâce à l’incroyable et surprenante ingéniosité des animaux sous-marins

Numibranche en vol plané
Nudibranche en vol plané

Les conférences passées 2017-2018

Dimanche 17 septembre  « Le Pastel : une histoire patrimoniale » Espace Marcaissonne                              Maryse CARRIER                                exceptionnellement à 15h

Jeudi 19 octobre                       « De l’alchimie à la chime moderne » Salle Jean Dieuzaide                                   Armand LATTES

Jeudi 16 novembre       « L’Elixir d’amour » de Gaetano Donizetti Salle Jean Dieuzaide                                   Maryse CARRIER

Jeudi 14 décembre « Extravagance de la vie animale sous-marine » Espace Marcaissonne                               Jean MANGIN

Jeudi 18 janvier                         « Tibet, voyage sur le toit du monde »     Espace Marcaissonne                              Jean-Pierre GIROLAMI

Jeudi 22 mars « Vermeer, l’un des maîtres du siècle d’or néerlandais »  Espace Marcaissonne            Odile FERRANDON

Samedi 24 mars                              Remise des prix « Les Arts littéraires »    Château Catala

Jeudi 5 avril                                              « L’Auvergne » et « Camargue, Provence et calanques »      Espace Marcaissonne         films de                    Maryse et Michel CARRIER

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Le Pastel : une histoire patrimoniale.

Conférence donnée par Maryse Carrier à l’occasion des Journées du Patrimoine 2017 à Saint-Orens.

17-09-2017 Public de la conférence : Le Pastel
17-09-2017 Public de la conférence : Le Pastel (photo : studio Belmonte)
Maryse Carrier : la conférencière
Maryse Carrier : la conférencière (photo : studio Belmonte)

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De l’Alchimie à la chimie moderne

Affiche Alchimie

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« L’Elixir d’amour » de Gaetano Donizetti

Affiche Donizetti

« Tibet : voyage sur le Toit du Monde »

Affiche Tibet

Tibet, voyage sur le toit du monde

Le Potala à Lhassa
Le Potala à Lhassa
Conférence de Jean-Pierre GIROLAMI

Le Tibet, un nom qui désigne une zone quelque part très haut à la limite du territoire des hommes, on dit aussi que ce serait l’antichambre des divinités et des légendes. Le Tibet est une destination à part qui a toujours fait rêver et qui a ensuite l’inconvénient de banaliser tout autre destination. Le Tibet actuel c’est plus de deux fois la France, alors que le grand Tibet, le Tibet géographique, celui revendiqué par les Tibétains représenterait au moins 5 fois notre pays. Voyager au Tibet, c’est donc accepter de passer de longues journées dans un bus à avaler des milliers de km pour enfin réaliser qu’on ne rêve plus et que tous les grands sites mythiques existent bel et bien, la lointaine et irréelle Lhassa, l’austère face Nord de L’Everest, le mythiques Mont Kailash, le ténébreux lac Mansarovar, le mystérieux royaume de Gugé , un seul voyage nous a permis de les embrasser tous.

Face Nord de l’Everest

 

 

 

Mont Kailash
Mont Kailash

 

 

Lac Mansarovar
Lac Mansarovar

Le public